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10 erreurs qui vous couteront un ajournement au code ?

erreurs qui couteront un ajournement au codePasser son permis est loin d’être un long fleuve tranquille. Il faut d’abord se familiariser avec le code de la route et passer les examens correspondants avant de s’attaquer à l’épreuve de conduite. En 2016, les examens du code de la route ont subi une réforme visant à mieux impliquer les futurs détenteurs du permis de conduire aux sujets de sécurité routière notamment. Le taux de réussite à l’examen du code est estimé à 70%. Malgré cette moyenne élevée, certaines erreurs sont à éviter pour ne pas risquer l’ajournement.

1 - Ignorer le déroulement de l’examen cause un risque d’ajournement au code

Le moyen le plus sûr de rater son examen du code est d’ignorer son déroulement. Avant tout, il ne faut pas se précipiter à l’examen si on n’a pas fait d’exercices d’entrainement au code. Cela nous donne une idée de la formulation des questions posées et de la manière dont il faut y répondre. L’examen du code est composé de 40 questions et il faut au moins retrouver 35 bonnes réponses pour réussir.

2 - Donner des réponses partielles expose aux risques d’ajournement

Les questions sont à choix multiple et dans chacune d’entre elles il y a au moins une bonne réponse. Avant de répondre, veillez à bien lire la formulation de la question. Il est possible qu’on vous demande de cocher au moins une bonne réponse. Dans le cas où vous cochez uniquement une réponse alors qu’on en attendait plus, votre réponse est incomplète et sera considérée comme fausse.

3 - Une envie d'en finir au plus vite peut aboutir à un échec

L’épreuve du code de la route dure 1h30, ce qui donne environ 2,25 minutes pour traiter chaque question. Ceci est un laps de temps suffisant pour bien lire la question, observer les photos et sélectionner une ou plusieurs réponses. L’erreur serait de se précipiter pour répondre aux questions. Des pièges peuvent se cacher dans la formulation des questions et dans la précipitation, on pourrait sélectionner la mauvaise réponse. Pour chaque intitulé, prendre soin de bien lire ce qui est écrit mais surtout de bien analyser les photos.

4 - Ne pas être attentif aux formulations augmente les risques de mauvaises réponses

Les pièges peuvent se cacher dans les formulations des questions. Ainsi, il est très important de bien distinguer la différence entre les verbes devoir et pouvoir. En effet, les bonnes réponses dépendent de l’énoncé de la question. Ainsi, selon les situations, une situation peut être obligatoire d’où la formulation « je dois » ou alternative « je peux ». Par ailleurs, il ne faut pas oublier de répondre indépendamment aux questions doubles face à une situation donnée.

5 - Rester focalisé sur la signalisation expose aux erreurs

La forme de la question au code est souvent la même. Elle consiste à regarder une photo représentant une situation de conduite. Sauf indication contraire, il faut répondre aux questions comme si on était le conducteur du véhicule concerné par la situation. Généralement, nous vérifions les signalisations pour nous indiquer l’attitude à adopter. Si le réflexe est normal, il faut surtout prendre en compte le contexte dans lequel on est, notamment si la réaction serait la même si on était doublé par une autre voiture ou si un piéton se préparait à traverser la route.  

6 - Ne pas savoir gérer le stress aux examens

Bon nombre de candidats souffrent de ce problème de stress aux examens. L’examen du code met d’autant plus la pression car il indique la première étape pour l’obtention du code. Il est important, la veille de l’examen de se mettre dans les bonnes conditions pour faire face à l’épreuve. Cela consiste à se relaxer, faire des exercices de respiration et se préparer pour une bonne nuit de sommeil. Idéalement, éviter de penser à l’examen qui aura lieu prochainement. Lire un dernier chapitre du code de la route ne servira à rien d’autre que de faire monter la pression. Ne pas oublier de mettre à portée de main ses papiers d’identité ainsi que sa convocation pour être fin prêt le jour de l’examen.

7 - Ne pas adapter sa vitesse selon la situation

A l’examen du code on est très prudent sur les questions concernant la limitation de vitesse. Il faut noter que la limitation de vitesse ne signifie pas de rouler au maximum de la vitesse autorisée. A chaque situation que vous devez analyser, il est important de prendre en compte de toutes les données. Généralement, la vitesse idéale sera en dessous de la limite autorisée. Au-delà des leçons apprises sur le code, le mieux est de faire appel au bon sens pour répondre correctement aux questions posées.

8 - Ne pas maîtriser les thèmes du code de la route

En mai 2016, l’examen du code de la route subit une réforme. Les premiers candidats qui se sont frottés à l’examen ont découvert les changements soldés par un taux de réussite de 17%. Bien entendu, les questions ont été reformulées à la suite de cette épreuve historique. Parmi les changements sur les anciens examens du code on note l’intégration de nouveaux thèmes. Il ne suffit plus de connaitre les panneaux de signalisation, il faut également prendre en compte des éléments concernant le conducteur. Il s’agit notamment des règles de sécurité mais également des nouvelles technologies au service de la conduite ou encore l’alcool au volant.

9 - Ignorer les questions sur les effets de l’alcool au volant

Il est important de retenir certaines règles concernant l’alcool au volant. Ainsi, l’éthylotest ou alcooltest est utilisé pour vérifier la présence d’alcool dans l’organisme du conducteur. Seulement si l’éthylotest s’avère positif, les forces de l’ordre effectueront un test à l’aide de l’éthylomètre pour confirmer et déterminer le taux d’alcool dans son sang. Lorsque ce taux est supérieur ou égal à 0,5g/l de sang ou 0,25mg/l d’air expiré, le conducteur subira une sanction. Suivant les cas, il sera immobilisé jusqu’à ce que le taux d’alcoolémie baisse, écopera d’une sanction ou sera poursuivi pour délit.

10 - Ne pas maitriser l’installation sécurisée des passagers

La règle de base concernant l’installation des passagers se résume simplement, un passager équivaut à une place et une ceinture de sécurité. Cette dernière est obligatoire, même pour le passager du milieu. Les sièges doivent être adaptés selon la morphologie, l’âge et au poids de l’enfant. Selon les situations il faudra équiper la voiture d’un porte-bébé, d’un siège homologué ou encore d’un siège rehausseur. Il faut faire attention aux ceintures de sécurité, notamment si on a un passager mineur qui n’a pas attaché sa ceinture, l’amende sera au nom du conducteur.

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